Formes de gouvernement, lois électorales et processus décisionnel
Mots-clés :
Démocratie, formes de gouvernement, lois électorales, processus décisionnelRésumé
Le néo-institutionnalisme appliqué à la politique comparée s’est résumé à l'importance des effets mis en marche par la forme de gouvernement et/ou par les lois électorales. La fusion et la séparation des pouvoirs est désormais invoquée en tant qu'une espèce de “premier principe” à partir duquel il serait possible de déduire le fonctionnement de tout le système politique : la probabilité des crises, la discipline politique, etc. Des analyses centrées dans l’effet de variation des lois électorales adoptent un format similaire, c’est-à-dire, le fonctionnement du système politique est déduit à partir du contrôle exercé par les dirigeants des partis sur les chances électorales des politiciens. L’objectif de cet article est d’offrir une révision critique de ces arguments. L’accent est mis sur les mécanismes invoqués pour expliquer la variation de la performance de régimes démocratique. Du point de vue positif, l’importance du degré de centralisation/décentralisation du processus décisionnel est mise en évidence dans la dernière partie du travail. Nous soutenons que cette variante ne reçoit pas l’attention qui lui est due.Téléchargements
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Publiée
2003-03-03
Comment citer
Limongi, F. (2003). Formes de gouvernement, lois électorales et processus décisionnel. BIB - Revista Brasileira De Informação Bibliográfica Em Ciências Sociais, (55), 7–40. Consulté à l’adresse https://bibanpocs.emnuvens.com.br/revista/article/view/257
Numéro
Rubrique
Balanços Bibliográficos